Le Col de Gul-Dhamos

Olaf contemplait les dernières lueurs du jour. Le soleil allait se coucher derrière le pic de Norskadya. Malgré son oeuil agérit, Olaf ne parvenait pas à voir le col de Gul-Dhamos. Près du feux de camp, L'éclaireur de Frostham s'affairait à leurs expliqué le reste du trajet et les multiples dangers qu'ils allaient devoir affronté. Olaf ne pouvait s'empecher de pensé aux dernières paroles du capitaine, avant qu'il ne s'esclaffe de rire dans l'auberge.

Votre capitaine a brièvement mentioné ces abomination que vous appelez Loups de Shivas. Croyé vous que nous risquons d'en rencontrer durant notre traversée du col?

Au fond de lui-même, Olaf souhaitait que la réponse soit positive, car il avait un compte à régler avec ces créature. Mais il savait aussi très bien que les hommes de l'expéditions étaient épuisés et que si ils devaient affronter de tels ennemis, une bonne partie de l'expedition ne veraient jamais Val-Bourg.

L'éclaireur de Frostham toisât du regard Olaf avec de grand yeux choqués tel un prêtre qui fusille du regard un infidèle dans un lieu saint. Il mit un genoux en terre vers le soleil couchant et fît une petite prière à Célestra et Irulan puis il se tournât dans l'autre sens vers la lune puis marmonnât quelques supplications à Lundemia pour ensuite demander des pardons concernant les propos d'Olaf à la déesse Shiva. Décidément, cet homme n'était pas aussi sympathique que le capitaine de Nordrak, un peu trop superstitieux aux goûts d'Olaf. Par contre, à l'instar de son rôle, il était excellent guide!

(À la "stupide hobbit joufflu" de Golum dans LotR)
-Ne prononcez pas le nom de "ces abominations" en ces lieux, je vous en conjure!!!

La crainte devait être grave pour qu'un simple guide démontre autant d'impétuosité. Devant tant de de singularité, même les hommes les plus courageux et aguerris de Childeric se regardaient entre eux puis lorgnaient le coucher de "l’œil de Célestra" avec une pointe d'incertitude en arrière pensée. Certains semblaient choqué qu'un simple éclaireur ose ainsi parler à Olaf. Soit ce simple soldat était fou ou bien il craignait vraiment pour sa vie.

Il repris la parole d'un autre ton très professionnel.

-À partir d'ici, suivez les "ancêtres" enfouis sous la neige. Ce sont des monticules de pierres empilés qui montrent le chemin depuis des temps immémoriaux. Ils sont enlignés avec le pic de Norskadya et si vous les suivez vers le sud, ils vous mèneront directement au Col de Gul-Dhamos. Vous ne pouvez voir le col d'ici. Au delà de Gul-Dhamos, il n'y a qu'une voie possible. Elle est sinueuse mais vous ne pouvez pas vous tromper. Vous verrez aisément une vallée au loin, elle sera votre salut car une fois atteint, le climat devient tempéré. Le Toluma, ou si vous préférer le souffle de Falcos vient réchauffer les terres de l'empire tel une bénédiction à partir de cette latitude.

Parlant de vent, un souffle glacial venait de se lever au moment ou le soleil venait de profiler son dernier clin d’œil. Il ne neigeait pas et aucune tempête ne rageait mais l'air était lourd et une menace semblait omniprésente. Malgré les fourrures portées, la brise s'infiltrait en grimpant dans les cottes de mailles comme une affreuse vermine glacé. Elle venait sapé le moral des hommes. Les rafales soulevaient une multitude de grains de neige poudreuse pour les faire danser au gré du chaotique Varius.

Subitement, on entendit le cri perçant d'une femme du clan Asgeir. Plusieurs pointaient le ciel en direction de célestes luminosités ondoyantes. Tel d’innombrables tapisseries divines, les aurores boréales, communément appelé "La Mante de Lundemia", ondulaient avec magnificence. En conjoncture avec les tourbillons de neige, le spectacle n'avait rien de rassurant: On croyait voir des spectres réunis à un bal macabre incessant.

Un second cri d'effroi vint percer le cœur de tous et chacun;

-Shiva! C'est Shiva elle même!

D'aucuns n'osaient contredire les propos superstitieux car la majorité avaient bel et bien vu, l'espace d'un instant, l'apparition dans les volées de neige et les lueurs blafardes: La silhouette gigantesque d'une superbe femme au traits sadiques et cruels qui les observaient tous d'un regard fatidique!

Le guide de Frostham s'empressât de remettre son paquetage sur le dos et de filer vers le Nord. Avec ses fourrures blanches et le tissu pâle de son sac à dos, il serait bien camouflé.

-J'ai rempli ma mission, je ne resterais malheureusement pas avec vous cette nuit. J'ai une femme et des enfants vous savez, ils ont besoins de moi. Je vous souhaite de ne pas devoir prier Arkhus cette nuit!

Sans demander son reste, il pris ses jambes à son cou en se faufilant hors du camp vers le Nord. Ses derniers conseils n'auguraient rien de bon...

Que les femmes et les couards rentrent aux abris! Bjorn prépare un talisman de protection pour le campement et une prière à Lextor pour les hommes qui vont monter la garde cette nuit, nous allons avoir besoin de courage. Si la chance nous souris, demain nous traverserons le col de Gul-Dhamos.

Olaf s'enroulat dans ses fourures, agripat son bouclier et malgré qu'il ne soit pas des plus supersticieux, il eu une pensé pour lextor afin de ce donné la force et le courage pour guidé les hommes au travers de cette nuit fatidique.

Olaf, Bjorn et une poigné de braves ce dirigèrent vers le lieux de l'apparition. Les psalmodies de Bjorn firent monter le courage des hommes à un niveau presque divin. Olaf atteignit les aborts du campement ou l'aparition avait été vue. Le regard fière et défiant il scrutat les profondeurs de la nuit. Si la mort les attendaient les Asgeir n'allaient pas mourir terrorisé dans leur lit mais bien l'épée à la main.

Pourquoi t'acharne tu sur notre clan! Quel est ton dessin déesse du froid? D'abord ce blizzard qui a décimé notre flotte, puis les loups qui ont attaqués et dévorés les rescapés et maintenant ce froid mortel qui menace d'eteindre le feu vital des survivants du clan Asgeir... Qu'attend tu de nous?

En avant frères d'armes! Allons voir d'où vienne ces cris.

Olaf leva sa torche bien haut pour tenter d'y voir quelque chose. Mais la lumière de sa torche semblait être dévorée par les ténèbres. Tel des aveugles la bande avancaient péniblement dans la neige et la noirceure. N'aillant comme seul point de repère, les cris et les rugissements qui augmentaient en volume à mesure qu'ils s'enfoncaient dans le blizzard.

Tennez-vous près! Je crois percevoire une silhouette droit devant... Asgeir!!! En formation!

Je me nomme Croh, chef du clan des chasseurs de loup. Avant ma rencontre avec le clan Asgeir, je menais mon clan au travers des montagnes qui cerne le col de Gul-Dhamos. Nos ancêtre avaient appris à vivre dans ces montagnes hostile et à éviter les pièges qu'elles recèlent. Nos talent de pisteur et de guerrier nous ont permis de se forger une bonne réputation auprès des caravaniers qui ce risque à traverser le col. Pendant plusieurs générations nous avons prospérés, échangeant nos services contre acier, sel, armes et autres denrées de valeurs.

Mais l'hiver de l'an 711 fût particulièrement cruel pour le clan des chasseurs de loup. Suite à la perte de plusieurs valeureux guerriers aux mains des géants des glaces, des trolls des montagnes et des loups de Shiva, une meute de lycan particulièrement féroce sentit que notre clan était vulnérable. Ils se mirent à nous traquer. Pendant plusieurs nuits nous parvînmes à les tenir à distance. Mais cette nuit, la lune serait pleine et notre clan ne pouvait plus fuir. Une lance fût donnée à tous les membres du clan, femmes, enfants et vieillards. Ce serait eux ou nous ...

Les faibles lueurs que la torche d'Olaf produisait lui permirent de mieux distinguer la silhouette qui ce trouvait devant eux. Il sagisait d'un loup de shiva accroupit au dessu du cadavre éventré d'une femme, encore fumant. Sa fourrure était blanche comme la première neige, ses crocs et ses griffes étais dégoulinants du sang de sa victime. La bète ce tourna et ce leva sur ses pattes arrières losqu'elle sentis la présence des guerriers qui ce raprochaient. Olaf réalisa à quelle point le monstre était immense lorsqu'il dût lever la tête afin de croiser le regard emplis de fureur du lycan.

La haine qu'Olaf épouvait enver ces démons lui fit oublier toute les règles de prudence face à un tel adversaire. Il plantat la torche dans la neige et sortit son épée. En cinq enjambés Olaf fonça sur la bète et trancha la patte qui s'aprètait à lui ouvrir le ventre. Le cri de douleur de la bète lui fit chaud au coeur et Olaf sélanca de nouveau pour lui fracasser le crâne. Malgé sa taille le loup fit preuvent d'une grande agilité et esquiva le coup. Olaf eu tout juste le temp de lever son bouclier afin de parré le coup porté par le loup avec son autre patte. La force de l'impacte surprit Olaf et l'envoilla dans les aire sur plusieurs mètres. L'atterissage fût amortis par une tente fabriqué en peau d'annimaux.

Olaf fit de sont mieux pour ce relever rapidement et retrouver ses esprits. Aussitôt fait il réalisa que le bras qui tenait son bouclier ne repondait plus à ses commandes et qu'il le fesait énnormément soufrir. Son bras devrait attendre, car le loup revenait à la charge. Olaf réalisa qu'il ne tenait plus son épée. il regarda par terre pour la retrouver mais il était trops tard, le loup ce projetta sur lui d'un seul bon. Olaf croisa le regard de la bête une dernière fois. cette fois si, il n'aurais pas le dessu, sans rien pour parer le coup et trop empètré dans les cordages pour tenté une esquive les démons de shiva allaient efin avoir eu raison de lui.

C'est alors qu'un siflement passa à vive allure tout prèt de l'oreille gauche d'Olaf. Un tir précis qui alla ce loger dans la gueule du loup et qui pénétra profondément dans la bète perforant plusieurs organes internes. le loup tomba au sol et glissa jusqu'au pied d'Olaf...

Tu va bien chéri?

Aria s'approcha de la carcasse et lui tira une flèche au traver du crâne. Puis elle ramassa l'épée de son mari et lui rendit.

Combien de fois vais-je devoire te dire de ne pas laisser trainer tes choses?
Je crois que nous arrivons trops tard pour ces gens. Nous n'avons pas trouver de survivant et le campement est infesté de loup garou.

Aria ramassa ses flèches dans la dépouille et aida Olaf à mettre son bouclier dans son dos.

C'est alor que tous deux entendirent une voix puissante, qui ne leur était pas familière, surpassé les bruis de la bataille: Baston!!!

Les membres du clan Asgeir progressaient tant bien que mal dans l'épaisse neige du désert de glace que représentait le col de Gul-Dhamos. Se frayant une multitude de chemins tel plusieurs labyrinthes dans la neige, les vaillants guerriers avançaient vers un renfoncement près d'un "ancêtre" de pierre. Les cris inhumains mêlés aux appels de détresses convergeaient vers cet étrange lieu semblable a une clairière dans cette épaisse foret de givre. Débouchant tour à tour d'autant de portails creusés dans la parois de l'éclaircissement, les membres du clan Asgeir émergeaient épées, haches, boucliers, lances, arcs et torches à la main pour progressivement éclairer conjointement ce qui semblait un campement de fortune.

Manifestement construit à la hâte, les huttes se composaient de fourrures abondamment aspergées de sang, morbide contraste écarlate dans cet immensité d'un blanc immaculé. Dans ce cercle d'une dizaine d'habitation de fortune gisaient une quarantaine de corps déchiquetés en d'atroces lambeaux sanguinolents méconnaissables pour quiconque oserait se prononcé sur l'anatomie humaine en de pareilles circonstances. Éparpillés chaotiquement partout autour de ce charnier, une trentaine d'énormes d'hybrides, mi homme, mi loup sanguinaire se repaissaient des chairs de leurs infortunées victimes. Des stries d'un bleu argenté formaient un "V" sur leurs torses abominablement bombés. Un empennage de la même couleur formait une crête à partir de leur sacrum jusqu'au faîte de leur crane lupin. Pour couronner leur difformes oreilles pointues, des aigrettes également du même argent bleuté laissaient scintiller quelques flocons de neige fondante au bout de ces poils sensoriels spécifiques à leur espèce.

Au centre de ce carnage résistait une demi douzaine d'êtres humains d'un clan fuyant les ignobles meutes amusant la cruelle et froide Shiva. Du côté sud, une de ces créatures barrait la fuite des misérables. D'une taille supérieure aux autres lycanthropes déjà immenses, ses yeux flamboyaient d'une sinistre lueur bleuté. Regard sans pitié témoignant d'une barbarie sans équivoque et ignorant l'effleurement même du moindre concept de compassion.

Un homme en particulier brandissait désespérément deux haches en esquivant adroitement les incessantes attaques du loup dominant fusant de toutes parts. Une femme parait tant bien que mal les assauts d'un lycant à l'est du groupe avec l'aide d'une loque qu'on aurait pu autrefois appeler un bouclier. Alors qu'à l'ouest des défenseurs, un autre rusé assaillant rabattait les humains au centre du campement, un vieillard terrifié tentait de le tenir en respect de sa lance, un enfant roulé en boule à ses pieds. Au nord, face aux arrivants du clan Asgeir un quatrième loup de Shiva refermait le piège sur les misérables, manœuvre instinctive scellant inexorablement le triste sort des survivants...

Pppffffffffffffffffffffftttttttttttt... Splock...

Une flèche empenné de plumes de corbeau venait de se ficher dans l'épaule du loup qui refermait l’étau.

Les loup-garous de givres délaissaient leur funeste festin pour observer les impertinents qui osaient déranger leur repas. À la lueur des torches, une trentaine de paires d'yeux bleu gris impitoyables brillaient de rage et de haine en reflétant de milles feux les flammes des Asgeir. L'espace d'une seconde semblant interminable, les hommes observaient les lycanthropes avec la force du courage jaillissant de chaque parcelle de leurs muscles gonflés par l'adrénaline alors que leurs antagonistes les méprisaient du regard de la furie gratuite les condamnant à d'innommables tortures. La courageuse femme de cuir et de fourrure vêtu venait de relâcher la corde de son arc derrière la protection d'un robuste gaillard portant une cote de maille, un casque conique, un pavois et une hache d'arme. Émettant un grognement méprisant, le loup blessé arrachât adroitement la flèche de son omoplate pour fixer ses sanglantes ambitions sur le guerrier et l'archère.

L'homme tatoué, se défendant de ses deux haches, entrevît tel une divine providence l’arrivée inespérée de cette bienvenue aide. Redoublant d'effort, un éclair d'espoir lui fit porter un bon coup de hache sur le museau du monstre tout de griffes et de crocs dégoulinants.

Un vacarme de hurlement féroce et de cris de guerre retentît ensuite pour faire place aux grognements de morsures, aux chocs sourds d'armes tranchantes, aux sinistres sons de lacérations et de fracas de masses...

Olaf jetta un rapide coup d'oeuil au dessu de son épaule afin d'évalué ce qui restait des forces à sa disposition. Une douzaine de guerriers, Childeric le chef du clan armé de l'épée ascestral des Asgeirs et de son fidèle Bouclier circulaire, Bjorn le prêtre de guerre de Lextor armé de son marteau et de sa foi, Gunnar le maraudeur armé de son arc et de sa ruse, Aria toujours prête une flèche encochée et son sixième sense qui avait souvent sauvé Olaf d'une mort prématurer et les autres guerriers du clan qui combataient ensemble comme si il fesait tous partie d'une seul et même entitée.

Nous ne somme pas assé nombreux pour les vaincre! Gunnar et Aria concentrez vos tir sur le chef de meute, si nous parvenons à le chasser le reste des lycans vont le suivre. Childeric et les autres assurez-vous que les loups ne nous encerclent pas.

Olaf saisi l'opportunité que le barbare venait de lui offrir. Le coup de hache au museau que le barbare venait juste de porter avait réussit à attirer l'attention du chef de la meute vers lui. Olaf pris le temp de bien placer son coup, son épée s'enfoça profondément dans la cage torassique de la bête. Un hurlement à glacé le sang se fit aussitôt entendre et en un mouvement instinctif le monstre se retourna pour fair face au nouvel assaillant. Olaf perdit l'emprise sur son épée qui resta coincé entre les côtes de la créature et il réalisat à quelle point le monstre était énorme. Au momment ou la bête allait fondre sur lui et qu' Olaf croyait que l'heure d'aller rejoindre ses ancètres avait sonné, deux flèches vinrent ce loger dans le crane du lycan. Une lui creva l'oeuil gauche et l'autre ce loga dans sa geulle déja ensanglanté. Ce qui donna tous juste le temp à Olaf pour ce jetter sur le coté afin d'esquiver la morssure qui lui aurait été fatal.

Olaf tomba lourdement sur son bras gauche déja fracturé plus tôt dans la bataille. La douleur intense lui fit perdre ses moyens quelques instant. Il put cependant voir le courageux barbar ce jeté sur la bête et lui lacérer le dos de ses deux haches. Aria et Gunnar décochèrent aussi plusieurs flèche qui s'enfoncèrent profondément dans le torse du loup géant. D'un mouvement vif comme l'éclaire le monstre fit basculer le barbare en retombant sur ses pattes avant. La tête du barbare alla ce fracasser contre un roché et il perdit aussitôt connaissance.

Visiblement désorienté par les attaques qui fusaient de toute par le lycan focussa son attention sur le guerrier incontient. Partiellement protégé des flèches par le roché la bête ce péparait à décapité le barbare de sa puissante machoire. Olaf fit un tour d'horizon rapide, tout les guerriers du clans asgeir étais mort ou bléssé Childeric et Bjorn semblaient absent et Gunnar et Aria étais cerné par trois lycans. Olaf demanda à Lextor de lui insufler la force de ce lever et de mourir en guerrier.

Olaf retira son seax de sa ceinture, la première arme que son père lui avait offert. "Ne t'en sépare jamais fils, cette lame te sera toujours fidèle, prends en bien soin." lui avait-il dit. Rassemblant tout son courage et bien décidé à faire honneur à ses ancêtres il ce leva et charga vers le loup géant. Le fait qu'il ce deplacait maintenant à quatre pattes le rendait encore plus bestial et ses yeux scintillaient d'une lueur diabolique fixé sur la gorge du barbare, l'apréhention du carnage la seul préoccupation dans son esprit sanguinaire. Olaf utilisa l'élan de sa charge pour glissé sur la neige à genoux sous le ventre de la bête. La lame du seax, affuté comme un razoir, trancha le bas du ventre de la créature répendant ses entrailles dans la neige et éclaboussant Olaf de sang de la tête au pied. Cette fois-ci le cri de la bête étais plutôt rassurant qu'éffrayant, Le chef de la meute disparut presqu'aussitôt dans le les ténebres, tennant le bas de son ventre entre ses pattes avant, afin de retenir ses entrail en son ventre.

Le reste de la meute le suivirent et disparurent dans la nuit ne laissant derrière eux que carnage et désolation...