Et la lumière fut !!!

La nuit est calme, seuls les bruit des fêtards et soûlons de l'auberge brisent le silence de la nuit.

Soudain, un silence surnaturel fit taire toute la forêt, y compris l'auberge ! Un moment plus tard, un puits de lumière apparut à une cinquantaine de mètres de l'auberge. L'instant de quelques secondes ce puits lumineux projetait tellement de lumière que l'on se serait cru en plein jour! Puis 2 silhouettes sortirent de la lumière et tombèrent au sol. Le portail de lumière se referma et le son revint.

Les deux silhouettes se mirent alors à rire aux éclats. On pouvait facilement distinguer un rire masculin et plein de bonhomie, ainsi qu'un rire féminin... silencieux.

L'homme s'écrira à la femme : «EZMETZ MALLI !!!»
La femme répondre : «HAOUM BAKATELA !!»

Le dialecte, quoique confus, était sur on ton enjoué et empli de fierté. L'homme pointa alors l'auberge à la femme «Svetla plezyvireth tcharchie!»

Puis les deux nouveaux venus se dirigèrent vers l'auberge. Rendu à la porte, l'homme et la femme sortirent un sac de cuir de leurs besaces et mirent du sel sur le seuil de la porte, puis fermèrent leur bouche, mirent leurs mains sous les aisselles opposées, levèrent un pied et entra en sautillant dans l'auberge et observa la réaction de la foule.

L'homme est assez corpulent, barbu, vêtu de fourrures et porte une sacoche de bonne taille en bandoulière. La femme est de grandeur moyenne une taille fine et de la démence plein les yeux.

La femme toujours les mains croisées sous ses aisselles et se tenant sur un pied, tenta vainement de ne pas tomber, mais ce fût un bel échec.

L'homme aida la femme à se relever tout en gardant cette étrange position. Bref il plis sa jambe comme un bougre ceci n'as pas l'air à aider à la situation. Une fois debout la femme reprend la position main sous les aisselles, bouche fermer et le tout sur un seul pied et sautille jusqu'à la table devant le regard abasourdi de toute l'assistance.

D'un travaille d'équipe, ils réussirent à tirer 2 chaises à l'aide de leur têtes et y prirent place. Tout en aillant un seul pied par terre la bouche fermer et les main sous les aisselles, ils regardent l'autre homme d'un air enjoué et curieux.

L'homme fait un signe de tête à l'individu qui est assis en espérant avoir un indice sur le bon dialecte à utiliser.

L'homme assit eu un grand sourire montrant ses dents carier. Les 2 individus etranges semblais parfaits pour ses plans futurs. Il leur firent signe de s'assoir si cela étais possible vu leur posture.

- Dites nous, vous etes quoi au juste des troubadours ou simplement des fous
- Nous voudrions bien le savoir pas vrai maitre
- Oui bien sur !!!
- Et que faites vous dans la région
- Cela aussi nous interesse maitre

L'homme avait utiliser deux intonations de voix tantot aigue tantot grave comme si deux personnes habitais son corp...

Voyant l'interlocuteur montrer ses dents sans être agressif, Stary Blazon se dit que montrer ses dents dans ce monde n'était sans doute pas considérer comme un acte de défiance ou d'hostilité. Il afficha donc un de ses plus beaux sourires, la femme fit de même en regardant les 2 hommes.

À l'écoute de ce dialecte Stary Blazon reconnu un langage qu'il a déjà appris dans son jeune temps, mais qu'il n'a jamais maîtrisé ou apprécié parlé. Il se rappelait cependant comment faire répéter les gens. Ça ressemblait à : "QUeu ou Deux mange PaRrrrrrDÉ" ou "PaRrrrrDO". Il essaya donc de faire répéter son interlocuteur pour essayer de comprendre l'essentiel du message. La chose était des plus difficile, car il ne pouvait pas prendre de notes vu que ses mains devaient rester sous ses aisselles.

Il remarqua cependant que le dialecte comportait 2 tons, le premier modéré et le second aigu, venant confirmer ou appuyer l'idée dite sur le premier ton.

À la première question il répondit : «StaRrrrry Blazon Aïtre StaRrrrry Blazon !!! (rires gras) StaRrrry Blazon Ketsul Dah (cherche ses mots) Néture?» (ne semble pas certain du dernier mot employé. Puis il dit d'une voie plus aiguë : «DAH!! StaRrrry Blazon Aïtre StaRrrry Blazon DAH, DAH!, StaRrrry Blazon Detsul Néture!»

À la seconde question, il crut comprendre qu'il demandait d'où ils viennent et où ils vont : «StaRrrry Blazon Vénire Dit (essaye tant bien que mal de pointer la porte d'entré avec son nez et son menton, voulant faire comprendre à son interlocuteur qu'il est arrivé par la porte) Hé StaRrry Blazon VAH (pointe la table où ils sont assis avec son nez et menton).

Suite à cette performance de communication, Stary Blazon était très fière d'avoir réussi à communiquer aussi efficacement (selon lui) avec un étranger d'un endroit qu'il ne connaît même pas encore le nom.

Voulant à son tour poser des questions il essaya de trouver des phrases toutes faites qu'il avait apprises il y a bien longtemps. Hésitant entre 2 phrases qui selon lui demandait à peu près la même chose, il les posa toutes les deux:

- KÔ Men Vavote Shien MÔsi eux délà MIZON O TO Oie RRrrrouge ?
- (D'une voie plus aiguë) DAH! KÔ Men Vavote To Oie Rrrouge?

- StaRrry Blazon Vous Oire Alchool
- (D'une voie plus aiguë) DAH! StaRrry Blazon Vous Oire Alchool!

Stary Blazon était maintenant certain qu'il venait de complimenté son interlocuteur sur ses beaux yeux.

L'homme n'ayant pas trop compris roula des yeux en signe de desespoir, cela serais plus compliquer que prevue de faire comprendre a ses deux urluberlues qu'il avait besoin d'eux pour une tache bien spécifique, mais etant donner qu'il n'y avait pas grand monde qui lui fesait confiance, il esseya d'etre poli, pour ce qu'il connaisait de la politesse.

- Nous avons pas compris d"ou vous venez (voix aigue)
- Ce n'est pas grave maitre, nous pouvons continuer pareil (voix grave)
- Premierement notre chien n'est pas moisi, nous n'avons meme pas de chien et nous n'avons pas non plus d'oie rouge. (voix aigue)
- Mais nous aimerions bien en tuer une... pour la manger... oui cela serait plaiiiissssant ( voix grave)
- Pour ce qui as trait a l'alcool nous avons vider notre verre (voix aigue)
- Si vous en voulez vous devrez payer de votre poche ( voix grave)
- Si vous en avez pas (lui montrant une piece d'argent) nous pouvons vous en fournir (voix aigue)
- Mais vous devrez nous rendre une certain service (voix grave)
- Oui maitre un bien petit service pour quelque piece d'argent (voix aigue)
- Tres facile comme tache (voix grave)

La femme toujours les mains sous les aisselle et un pied en l'air regarde les gens qui rentre dans l'auberge et remarque que le premier pied touchant au seuil de la bâtisse n'as pas d'importance. Elle remet donc son pied par terre et dit a Stary: "Noru Dore!" et il baissa ses pied.

Tchervena baissa une main au niveau de sa bourse en prenant bien garde de laisser sa main caché. Elle défit le cordon et s'approcha de Stary afin que celui-ci prenne sa bourse te la jette sur la table, ce qu'il fit. Il y avait dans ce sac une bonne base pour construire une amitié.

Avec un sourire complice, à son interlocuteur, elle pointe la bourse avec son menton


Tchervena Tchipotchka
(la bourse contient des cube de différentes couleurs et grosseurs qui semblent s'emboîter l'un dans l'autre)

L'homme qui regardais toujours les deux etre etranges qui venais d'arriver compris qu'il ne venais pas d'ici, meme lui qui avait fait une longue route n'avait pas des coutume aussi etrange. Ils se disait a lui meme que le tout serait enormement compliquer a leur faire comprendre quoi que ce soit. Mais prit quand meme la bourse sur la table et l'ouvrit. Voyant ce qu'elle contenait il regarda les 2 etrangers d'un air hébéter se demandant ce qu'il pouvais bien faire de cela et s'il avait vraiment du temps a perdre avec des humains aussi retarder...

Mais sa deuxieme voix lui disant de continuer il se concentra et esseya de leur faire comprendre que ceci ne valais absolument rien ici. Il ne pourrait meme pas se payer une chambre ou un lait de chevre. Encore moin se payer des protecteurs. Les regardants ils se disait qu'il en aurait bien besoin, d'ailleur il n'avait remarque aucune arme a leur ceinture, était-il magicien ou druide rien n'en fesait mention, mais l'homme avait vu des chose bien etrange au cours de son existance et ses deux etre le rendait curieux.

Il poursuiva donc, leur montrant leur cube de couleur differante, il les mit a coté d'une piece d'argent leur expliquant tant bien que mal que ceci etais la monnait d'ici et que la leur ne valait absolument rien.

- Ceci est l'argent d'ici, la votre a ce que nous croyons ne vaut absolument rien dans cette contré (voix aigue)
- Oh oui c'est bien vrai maitre ca ne vaut rien du tout (voix grave)
- Si vous voulez des pieces comme celle-ci (leur montrant la meme piece d'argent) il faudra travailler (voix aigue)
- Ou la voler... ou encore tuer pour en avoir (voix grave)

L'homme eu soudain un éclair de génie, esc-ce que ses deux etrangers comprenait le moindre mots de ce qu'il disait, il en etais de moin en moin certain, il avait bien beau avoir deux cerveaux en lui (enfin c'est ce qu'il croyais sinon comment pourrait-il se parler et se repondre) cela ne le randait pas forcement plus intelligent.

- Vous comprenez ce que nous vous disont (voix aigue)
- Ou vous nous faites perdre notre temps (voix grave)
- Maitre laissez-nous aller ils finiront bien par comprendre ce que nous attendons d'eux (voix aigue)
- Oui mais nous pourrion en trouver d'Autre avec le temps que nous perdons ici (voix grave)
- Nous avons autre chose a faire dans le moment (voix aigue)
- ... (voix grave)