Une visite inattendue.

Sir Olaf dans le confort de sa petite forteresse nouvellement construite, repensait aux événements de la dernière année. Depuis leurs combats contre les démons de Shiva, les feux follets de la forets des sanglots, les Goblins de Gurluk et leur écrasante victoire contre les brigands d’Alphasia, les choses étaient redevenues bien calmes à Val-Bourg. Cette période d’accalmie avait permit au clan Asgeir et aux nombreuses nouvelles familles qui s’étaient joint à eux, le temp de récolter et de faire des réserves pour l’hiver. Fort Asgeir, comme les gens du coin avaient nommer l’endroit, se composait d’une centaine d’âmes, surtout de paysants, de chasseurs et de mineurs sous la protectection d’une petite garnisons d’hommes d’armes.

La construction de la forteresse et l’édification de la palissade avaient tennue les Asgeir bien occupés. Olaf avait passé la majeur partie de son temp entre la forge et le chantié. Maintenant que le froid s’était installé et que la majorité des travaux étaient terminés, l’heure était aux réjouissances! Les Blazon étaient rentré d’une autre de leurs aventures rocambolesques, Croh était de retour avec ses histoires de chasses dur à suivre et Shalag NaN Helmolyn, le fou du village, continuait à déblatérer ses proféssies d’apocalypse et de fin du monde comme à l’habitude. Toute la bande était réunit et chaque soir était une occasion pour se rappeler leurs aventures autour d’une bonne bouffe bien arrosée. Aria ne m’enquait pas de faire remarqué à son mari qu’à ce rytme, il ne pourait bientôt plus enfiler son armure tant il avait prit du poid.

Ce soir la, suite à une de ces fameuse soirée, Olaf quitta discretement ses convives et ce dirrigea discretement vers son atelier. Un projet l’avait tennu eveiller à plus d’une reprise au court des dernières semaines. Une lame étrange en piètre condition dont il avaient entreprit la restauration. Depuis le jour ou il l’avaient trouver sur un cadavre complétement décomposé, Olaf avaient éprouvé une fascination pour cette arme. La réstauration maintenant complétée, Olaf étaient très fière du résultat et il languissait de la montré à ses compagnons. Mais quelque chose le fesait ésiter, tout en caressant la lame il admirait les détailes de la garde et ne pouvait qu’envier le talent de celuis qui avait forgé une t’elle arme. Assit sur sa chaise, des centaines de théories tant qu’à ses origines traversaient son esprit l’orsque la caresse froide et désagréable d’une lame affûtée vint le sortir de sa torpeur…

Une visite inattendue (suite)

Une voie feminine avec un fort acsent Alphasien lui chuchota à l’oreille:

“Mon cher Sir Olaf, vous m’avez causé bien du soucis. Vous prendre par surprise ses avérer un vrai défi.”

Olaf fit un mouvement discret vers la poigné de sa dague, mais la morsure de l’acier sur sa jugulaire le fit stoper.

“Ne soyé pas stupide… Les gens qui mon engagé tiennent à ce que vous sachiez qui ils sont avant que je vous tue, sans quoi je ne serai pas payé. Ils tiennent à ce que votre âme ère dans les limbes à la recherche de vengence pour la mort peux honorable que je vous reserve.”

Le gout amère du poison dans la bouche d’Olaf et ses membres déjà à moitié paralysé ne lui inspiraient pas beaucoup d’espoire pour la suite des événements.

“Depuis votre arrivé en Thyatis vous ne vous êtes pas fais que des amis, vous avez défié des gens dont vous ne doutiez même pas de leur puissance et maintenant vous allez payé pour votre insolence… Par cette acte de subterfuge, je condane l’âme de ce guerrier à errer éternellement dans les limbes à la recherche de vengence, aux nom de” Fffftouch!!!

Olaf sentit la pression sur sa gorge se relacher et le corp d’une jolie jeune femme aux cheveux noire s’écrouler à ses cotés. Une flèche transperçait sont crâne et jaillisait d’entre ses yeux. Olaf tenta de regarder dèrière lui mais le poison l’avait complétement paralysé.

“Tenez, buvez ceci, vous devriez retrouver l’usage de vos membres d’ici quelques minutes.”

L’homme pencha la tête d’Olaf vers l’arrière et vida le contenu d’un petit flacon de ver entre ses lèvres. Puis aussitôt il tourna son attention vers le cadavre de la jeunne femme. Il la fouilla et pris le contenus de sa bourse, quelques pièces et une petite envelope. Il recupera ensuite la dague que l’assassin avait laisser tomber sur le sol. Olaf eu le temp de bien la regarder avant que l’homme ne la range dans son sac. La lame courbée et affilée comme un razoir et le manches finement taillé dans un ébénite noir de jet, indiqua à Olaf qu’elle avait été fabriquée par un maître forgeron d'Alphasia.

“Qui ete vous et d’ou sortez vous…”

“Un simple merci aurait fait l’affaire… Les gens me nome Beaud et j’ai fait le voyage d’Alphasia jusqu’à Val-Bourg dans le but de découvrir qui je suis. Voyez vous il y as près de trois mois je me suis reveillé agonisant et amnésique sur le bord du Canal de Tharna, la capital Alphasienne. Un vielle homme m’aida à me cacher des hommes qui m’avaient mit dans cette état. Il pensa mes bléssures et me remit sur pied afin que je puisse m’enfuir de Tharna. Il me fit monté clandestinement abord d’un convois marchand en direction de Thyatis. Juste avant mon départ, le vielle homme me remit le portrait d’une jolie femme et me dit: Suit cette femme jusque dans le nord, elle va tenter d’assassiner un homme, tu doit l’en empecher car la clef de ton passé est lié au destin de cet homme. Il semble que vous soyez l’homme en question.”

“Une bien belle histoire mon cher Beaud mais ton visage ne m’est pas familié et je n’est jamais vue cette femme auparavant. Peut-être sait tu qui la engager pour me tuer?”

“Malheureusement je n’en ai aucune idée. Tout ce que je sais sur elle, c’est qu’elle fesait partie de notre caravane et qu’elle voyagait parmis les marchants, les nobles et les mages. Une foie arriver près de Val-Bourg elle est déscendu, la caravane à reprit sa route vers Ar, la capital de Thyatis et la dâme ses dirigée directement vers Fort Asgeir.”

“Je te remercie de m’avoir sauvé d’une mort désonorante, mais je ne crois pas pouvoir t’aider d’avantage tant que je n’aurai pas découvert qui à financé cette caravan. Je vais m’assurer que tu soit bien récompenser et si tu veux t’instaler parmit nous soit le bienvenu, nous aurions bien besoin d’un archer de ta trempe pour protéger nos rempart.”

“Sir Olaf je crois? Je ne tiens pas à être récompensé monaitairement et en d’autre circonstance, j’accepterais sans doute de faire partie de la garnison de Fort Asgeir. Mais pour le moment permétez moi de vous faire une offre. Puisqu’il semble que mon passé soit lié à votre futur, laissez moi assurer votre protection pour un temp. Je pourai ainsi vous assiter afin de découvrir qui à tenté de vous assassiné et m’assurer personelement que le seul indice sur mon passé ne disparaisse pas.”

“Jai une dette envers vous mon cher Beaud et les Asgeir payent toujours leurs dû. Si c’est cela que vous désirez il me serait difficile de vous le refuser. De plus nous partons bientôt pour un grand banquet et vos service pourait m’être fort utile.Venez je vais vous présenter à mes compagnons et amis, peut-être pouront-ils nous aider à découvrir qui ce cache derrière cette acte de couardise!”